Il n’est pire sourd
Faire taire la mélopée incessante qui refuse encore et encore de s’arrêter.
Inonder mon cerveau d’ondes positives contrebalançant ainsi la complainte du chaton esseulé.
Je respire le parfum de la liberté, odeur longtemps oubliée et profite enfin de cette disponibilité retrouvée.
Instants par moment gâchés par un certain refus délibéré. Mais bientôt la guérison se fera sentir et enfin, je serai désenchainée.
Si seulement il acceptait d’écouter.